Bien que nous n’en entendions pas parler, des études ont eu lieu concernant le lien entre état de santé et géobiologie.
Dieter ASCHOFF, médecin allemand a compilé un certain nombre de preuves scientifiques concernant la géobiologie qu’il a exposé sous le nom de « Zones géopathogènes, régulation électromagnétique et carcinogenèse » le 21 mars 1985 à l’OECD de Paris. Parmi celles ci, il cite:
L’étude du baron Von Pohl du 29 janvier 1929, établie selon un protocole authentifié officiellement (V. Pohl « Krankheiten durch Erdausstrahlungen » et « Erdstrahlen als Krankheitserreger »). Sur des plans urbains de localités inconnues de lui, il traça les zones de perturbation et prétendit que tous les décédés par effet d’un cancer devaient avoir eu leur lit situé dans une de ces zones. Il sollicita des autorités sanitaires, à titre de preuve, le report sur ces plans urbains du nombre de décès dus au cancer. Sur ces plans il avait naturellement fait figurer les zones perturbées déterminées précédemment. Cette utilisation de la statistique permit de se rendre compte que non seulement à Vilsbiburg mais aussi dans d’autres localités de la Bavière, tous les décès provoqués par des affections cancéreuses, sans exceptions, se rapportaient à des personnes domiciliées dans les zones désignées par le baron Von Pohl. Celui-ci utilisait les baguettes de sourcier.
Le Dr Victor RAMBEAU, président de la Chambre des Médecins de Marburg, publia en 1934 le résultat d’études effectuées dans trois localités des environs de Marburg à l’aide d’un appareil mesurant l’intensité de champ dans le domaine des ondes moyennes appelé Géoskop du Dr Marts ou tektonomètre. Les mesures effectuées ont permis de déterminer une correspondance entre les lignes mesurées et les failles figurant sur la carte géologique nationale. Le résultat des mesures était incroyable : tous les malades atteints de manifestations cancéreuses et gravement affectés habitaient les zones précédemment déterminées. (BÖRNER R. : « Das Geoskopverfahren » 1944 von Münchow’sche Druckerei Giessen et RAMBEAU « Besteht ein Zusammenhang zwischen des Tektonik des Erde une dem Krankheitsproblem ? » Biol. Heilkunst, Jahrgang 15, Nr. 3 vom 20. Januar 1934, Verlag des Biologischen Heilkunst, Stuttgart-W, Holzgartenstr.7, Nachdruck : Wetter-Boden-Mensch Heft 7/1969, S.341-353, W. Krauth-Verlag 693 Eberbach).
A la même époque, un ingénieur électronicien français du nom de CODY a effectué 10000 mesures dans la ville du Havre, concernant l’emplacement des lits à cancer et leur environnement. CODY utilisa deux chambres d’ionisation fermées, l’une placée sur le lit suspect et l’autre dans une zone attenante. Le temps de chute des feuilles de l’électromètre placé à côté du lit à cancer était souvent plusieurs centaines de fois plus long que lorsque l’appareil était placé sur le lit même. (CODY « Etude expérimentale de l’Ionisation de l’air par une certaine radioactivité du sol » juillet 1933-juillet 1939.
D’autres mesures furent faites comme celles du physicien WÜST en 1955 avec un tube de comptage multiplicateur composé de 24 cellules de comptage Gamma sur un lit à cancer ou trois personnes étaient successivement décédées. (WÜST J. : « Gammastahlenmessungen auf geopathischen Zonen », Erfahrungsheilkunde 2/1956, S. 52-62, Karl Haug Verlag, Heidelberg).
Deux chercheurs américains, Wiliams et Lorenz, firent des mesures correspondantes en avion en utilisant en chambre d’ionisation. (« »World-Oil » April 1957, nach Kopp/Ebikon-Schweiz in Wetter-Boden-Mensch 1968 Krauth-Verlag Eberbach).
Un chercheur allemand STÄNGLE reprit les travaux du baron Von Pohl avec un compteur à scintillation en 1972. Il constatât une nette augmentation du rayonnement tellurique en rapport avec les zones initialement trouvées. (STÄNGLE J. : Grundstrhlenmessungen über geopathischen Reizstreifen » Wetter-Boden-Mensch, Heft 18/1973 Krauth-Verlag Eberbach)